Le sacrifice - Shora Kuetu



Ephésiens 5 : 25 à 27

(…)
Maris, aimez vos femmes, comme Christ a aimé l'Église, et s'est livré lui-même pour elle, afin de la sanctifier par la parole, après l'avoir purifiée par le baptême d'eau, afin de faire paraître devant lui cette Église glorieuse, sans tache, ni ride, ni rien de semblable, mais sainte et irrépréhensible.
Nous savons tous que le Seigneur est en train de revenir, néanmoins, ceux qui sont enfants de Dieu, au vu de tout ce qui se passe dans le monde. Nous savons, en même temps, d’après les Ecritures, que le Seigneur ne va pas revenir chercher une église complètement entachée, une église ridée c’est-à-dire une église qui a vieilli. Mais il va venir chercher une Eglise sainte, une Eglise glorieuse, une Eglise sans tâche. Or quand la Bible parle de la sanctification, le mot sanctification dans la Bible, aussi bien sous la loi que sous la grâce, vient d’un mot, un terme hébreu ou grec qui signifie simplement consacré, consacré, sacrifié. Donc on ne peut pas parler de l’Eglise sans tâche sans parler du sacrifice. Et c’est ce que je veux nous partager un peu cet après-midi.
Le sacrifice !

Vous savez que beaucoup de chrétiens ont du mal à vivre dans la sanctification dans la vie de tous les jours. Beaucoup de chrétiens luttent. Comment faire pour mener une vie sainte dans le quotidien ? C’est la question que certaines personnes se posent. Comment faire pour éviter la convoitise ? Comment faire pour éviter les critiques ? Et vous ne pouvez pas expérimenter la sanctification si vous n’êtes pas passés par le sacrifice. Ce n’est pas possible.
Allons rapidement dans le livre de Genèse chapitre 15. Nous connaissons tous Abraham n’est-ce pas ? Nous avons beaucoup de choses à apprendre de lui.
Avant de lire le chapitre 15, lisons d’abord le chapitre 12 du verset 6 au verset 9 Abram parcourut le pays jusqu'au lieu nommé Sichem, jusqu'aux chênes de Moré. Les Cananéens étaient alors dans le pays. L'Éternel apparut à Abram, et dit: Je donnerai ce pays à ta postérité. Et Abram bâtit là un autel à l'Éternel, qui lui était apparu. Il se transporta de là vers la montagne, à l'orient de Béthel, et il dressa ses tentes, ayant Béthel à l'occident et Aï à l'orient. Il bâtit encore là un autel à l'Éternel, et il invoqua le nom de l'Éternel. Abram continua ses marches, en s'avançant vers le midi.
Qu’est-ce que vous remarquez ici ? Qu’avez-vous remarqué dans ce passage ici ? Si quelqu’un à quelque chose à partager il peut lever la main, il n’y a pas de problème. Qu’est-ce qui vous a touché ici ?
À chaque fois que le Seigneur lui apparaissait, Abraham bâtissait un autel.
Nous savons tous qu’Abraham est le père de la foi n’est-ce pas ? Et nous avons tellement de choses à apprendre de lui. Et vous remarquerez, effectivement, qu’à chaque fois que Dieu, Yahvé, se révélait aux patriarches, la première chose qu’ils faisaient c’est de bâtir un autel. L’autel était l’image de la croix. Et les patriarches étaient des hommes qui faisaient énormément de sacrifices. Vous devez savoir que le Dieu de la Bible est un Dieu ou le Dieu qui aime le sacrifice. C’est très important de le savoir.
Vous avez compris que Satan qui aime singer Dieu, il a également inventé toutes sortes de sacrifices : les sacrifices humains, les sacrifices d’animaux avec le vaudou, du coq, de la poule, de la chèvre. Il ne fait qu’imiter Dieu.
À chaque fois qu’Abraham recevait une révélation de Yahvé, du Dieu de la Bible, la révélation de Dieu l’amenait à l’adoration. L’autel ici c’est le sacrifice, c’est l’adoration.
Vous comprenez pourquoi le Seigneur a dit à la femme samaritaine dans Jean 4 à partir du verset 23 Vous adorez ce que vous ne connaissez pas.
Donc c’est-à-dire que nous pouvons chanter, nous pouvons lire la Bible, nous pouvons même prêcher un Dieu qu’on n’a pas expérimenté de manière personnelle, pas de manière globale mais personnelle.
Ça veut dire que l’adoration, les sacrifices ne sont rien d’autre que des conséquences de la révélation que l’on reçoit de Dieu. Donc un adorateur c’est quelqu’un à qui Dieu s’est révélé. Ce n’est pas quelqu’un qui adore pour que Dieu se révèle à lui. On ne chante pas pour que Dieu descende. Non ! On ne prie pas pour que Dieu descende. On prie, on chante parce que Dieu est descendu.
Je veux dire ceci : un homme ne peut en aucun cas écrire une poésie à sa femme s’il n’a pas, au préalable, reçu l’amour de celle-ci. Un homme ne peut offrir des fleurs à sa femme que si dans son cœur il y a déjà l’amour.
Donc vous ne pouvez par bâtir un autel à Dieu, je ne veux pas nous dire qu’il faut faire comme Abraham, non, vous ne pouvez pas offrir à Dieu un sacrifice si vous n’avez pas la révélation de sa personne. Ce n’est pas possible. Abraham reçoit l’éclairage. Il a compris qui est Dieu. Il se dit « Mais que pourrai-je faire pour lui ? ». Il va bâtir un autel. Il va sacrifier des animaux. Et Dieu va agréer.
Le premier à avoir bâti un autel pour Dieu c’est qui ? Abel ? Bon on n’a pas bien dit qu’il a bâti un autel mais c’est Noé. On sait que le premier à avoir sacrifié c’est Abel. Et remarquez ce qu’Abel va sacrifier, le premier-né de son troupeau. Il a donné à Dieu la primauté, il a donné à Dieu la prééminence, la première place. La Bible dit que Dieu va agréer parce qu’Abel connaissait Dieu.
Vous savez ce n’est pas compliqué. Comment peut-on savoir que quelqu’un connaît réellement le Seigneur ? On le verra par rapport à la manière dont cette personne vit, son comportement même au sein de l’assemblée des saints.
Alors Abel sacrifie et son frère va être jaloux de lui parce que la Bible dit que Dieu avait agréé son sacrifice. Et la Bible nous dit dans Hébreux 11 qu’Abel avait la foi en Dieu. Or la foi vient de ce que l’on entend. Vous savez que la foi aussi est une conséquence de la révélation qu’on reçoit de Dieu ?
Quand j’ai prié pour cet homme qui avait le sida à Kinshasa il y a un mois de cela, dans mon esprit j’ai reçu que la personne était guérie mais si t’a pas foi en Dieu tu ne peux pas dire à cette personne « Tu es guérie ».
Donc ça veut dire que tu ne peux pas avoir confiance en Shora Kuetu si tu ne le connais pas. Je ne peux pas faire confiance à Freddy si je ne le connais pas mais si je le connais… Admettons que Freddy à chaque fois qu’il me dit « Ecoute je vais te donner, par exemple, disons un stylo demain à 10 heures ». Demain à 10 heures j’arrive, il me donne le stylo. Je me dis « Ah ! Il est fidèle cet homme ». S’il me dit « Demain, après-demain, je viens te chercher pour t’amener ici ». À 10 heures le lendemain, il passe me chercher. Donc la manière dont il va se comporter vis-à-vis de moi va semer dans mon cœur la confiance. Vous comprenez ? Et Dieu c’est pareil. Celui qui ne connaît pas Dieu ne peut pas sacrifier. Celui qui ne connaît pas Dieu ne peut pas adorer. Ce que Dieu veut ce n’est pas les chants qui sont des lèvres. Vous comprenez ?
Alors Abram ne connaissait pas Dieu. Dieu se révèle à lui. Personne ne lui a dit « Va bâtir un autel ». Celui qui connaît Dieu n’a pas besoin qu’on lui mette la pression.
Vous voyez une femme amoureuse vous allez lui dire « Non, il faut que tu fasses à manger pour ton mari ». C’est l’amour qui va la guider.
Alors là, Abram bâtit un autel. Vous verrez qu’il a bâti plusieurs autels. Il a reçu des révélations de ce Dieu glorieux. Dans Genèse 14 Dieu se révèle à lui comme étant El Elyon c’est-à-dire celui qui est au-dessus de tout nom. A chaque fois que la Bible dit que Jésus Christ a reçu le nom qui est au-dessus de tout nom vous devez savoir que c’est le El Elyon. El Elyon est au-dessus de tout. Donc Abram reçoit que Dieu est El Elyon. Donc le nom qui est au-dessus de tout nom. Il se dit « Mais que pourrais-je faire alors pour pouvoir sceller cette chose ? ». Il bâtit un autel ! Et vous verrez que Job a fait la même chose.
Et sous la loi qu’est-ce que Dieu va dire ?
Nous sommes dans Deutéronome 16 : 16 Trois fois par année, tous les mâles d'entre vous se présenteront devant l'Éternel, ton Dieu, dans le lieu qu'il choisira: à la fête des pains sans levain, à la fête des semaines, et à la fête des tabernacles. On ne paraîtra point devant l'Éternel les mains vides. Chacun donnera ce qu'il pourra, selon les bénédictions que l'Éternel, ton Dieu, lui aura accordées.
Dieu dit à Moïse « Dis aux enfants d’Israël trois fois par année lors de la fête de pâque, des semaines, ou la pentecôte, et la fête des tabernacles ». Il y avait sept fêtes en Israël, les sept fêtes que Dieu avait établies, ils en ont rajouté d’autres mais il y avait sept fêtes officielles. Dieu dit « Lors des trois premières fêtes » qu’on appelait les fêtes du pèlerinage, la pâque, la pentecôte et la fête des huttes ou tabernacles « Tous les hommes d’Israël doivent se présenter devant ma face ». À Jérusalem dans le tabernacle. Et Dieu va préciser : « On ne paraîtra pas devant moi les mains vides ». Ah non ! Il dit « Chacun de vous apportera ce qu’il pourra ». Mais il dit « Que personne ne paraisse devant moi les mains vides ».
Nous savons que l’Ancien Testament est l’ombre du Nouveau Testament. Alors que représentaient les sacrifices, ces animaux, ces offrandes qu’on apportait à Dieu sous la loi ? Que représentent-elles aujourd’hui ces offrandes ? Dieu dit « Il ne faudrait pas que les hommes paraissent devant ma face… ». Non mais attends mais quel est le Dieu que Moïse a servi frères ? Est-ce que Dieu avait besoin des brebis ? Est-ce que Dieu qui est esprit peut-il manger des brebis, des animaux ? Il l’a dit à David « Non mais qu’est-ce que tu penses ? Est-ce que la graisse de tes brebis, est ce que tu penses que j’en ai vraiment besoin ? ».
Dieu voulait, en fait, enseigner aux enfants d’Israël à se détacher du monde. Il dit dans Malachie il dit « Je suis un grand Dieu ». Il dit « Vous vous présentez devant moi et vous m’amenez des animaux aveugles. Vous m’apportez des animaux boiteux, chétifs ». Dieu leur dit « Donnez les à votre gouverneur s’il va vous agréer. C’est terrible !
Alors vous remarquerez que selon Lévitique chapitre 2 : 13 Tu mettras du sel sur toutes tes offrandes; tu ne laisseras point ton offrande manquer de sel, signe de l'alliance de ton Dieu; sur toutes tes offrandes tu mettras du sel.
Dieu demande aux enfants d’Israël plusieurs types d’offrandes. Mais il y en a une qui était bien particulière qu’on appelait l’offrande de l’holocauste. L’holocauste ! Dieu dit « Toutes les offrandes que vous allez me présenter vous ne manquerez pas de rajouter dessus du sel ». Et le Seigneur dit que l’alliance qu’il a conclue avec eux est une alliance de sel.
Alors qu’est-ce que c’était l’holocauste ?
Lévitique chapitre 1 : 1 L'Éternel appela Moïse; de la tente d'assignation, il lui parla et dit: Parle aux enfants d'Israël, et dis-leur: Lorsque quelqu'un d'entre vous fera une offrande à l'Éternel, il offrira du bétail, du gros ou du menu bétail. Si son offrande est un holocauste de gros bétail, il offrira un mâle sans défaut…
Un mâle sans défaut.
Mes amis, si vous voulez comprendre le Dieu du Nouveau Testament, il faut beaucoup lire aussi l’Ancien Testament. On nous a fait croire que le Dieu de l’Ancien Testament n’est pas le même que celui du Nouveau, qu’il a changé. Non, Dieu ne change pas, c’est nous qui changeons.
Dieu dit « Il faut du sel ». Dieu dit premièrement « Il ne faut pas paraitre devant moi les mains vides ». Deuxièmement, il dit « Il faut du sel ». Troisièmement, il dit quoi ? « Il faut un animal sans défaut ».
Est-ce que vous savez que sous la loi les lépreux étaient exclus du temple ? Si un homme était boiteux, il était exclu. Si un homme manquait de testicules, il était exclu. C’est écrit ! Celui qui avait un défaut corporel était exclu. Dieu est le Dieu de la précision et de la perfection.
Il dit « Toutes les offrandes avec des défauts vous les gardez pour vous ».
… il l'offrira à l'entrée de la tente d'assignation, devant l'Éternel, pour obtenir sa faveur. Il posera sa main sur la tête de l'holocauste, qui sera agréé de l'Éternel, pour lui servir d'expiation. Il égorgera le veau devant l'Éternel; et les sacrificateurs, fils d'Aaron, offriront le sang, et le répandront tout autour sur l'autel qui est à l'entrée de la tente d'assignation.
Dit à ton voisin c’est toi le veau.
Je ne vais pas te parler de l’argent. Vous savez que l’argent ne nous intéresse pas. Ne pensez pas que nous sommes là pour votre argent. Honnêtement, non ! Je vais te parler de toi-même. Toi en tant que veau.
On nous dit que le veau en question il fallait qu’il soit égorgé. Ça veut dire que si tu n’es pas encore égorgé, si tu es encore vivant… Quand les gens te critiquent, tu réagis. « Oh ! Non, on parle mal de moi » ça veut dire que si tu n’es pas encore mort, alors Dieu, mon ami, pour ton information, il va t’égorger. Un veau égorgé c’est un veau qui est un cadavre parce que c’est toi l’holocauste. Vous savez celui qui comprend qu’il est l’holocauste, il n’a même plus besoin qu’on lui dise que l’œuvre à besoin d’argent.
Y en a beaucoup qui ne sont pas encore égorgés. Et moi Dieu est en train de m’égorger en ce moment avec des vidéos qu’on met sur moi ici et là. Parce qu’il y a quelques années, frères, ah non ! On est sortis de la délinquance. Vous savez non ? Il y a 18 ans si tu fais ça là je viens chez toi, je t’achève, en moins deux, c’est réglé. Si t’es plus balèze que moi je prends une bande de jeunes. On était une vingtaine avec des battes, avec des pistolets, avec des couteaux, avec des armes. On vient chez toi là, on règle ton affaire, en moins de deux, c’est réglé. La police, le temps de réagir, on n’est plus là.
Aujourd’hui, Shora est devenu un veau égorgé.
Frère, écoute je vais te dire une chose toi avec tes muscles là c’est bien… Beaucoup de jeunes qui sortent des cités croient que Dieu c’est le Dieu de la cité. Des fois quand je me regarde je dis « Ah Shora tu es mort ». Pour dire à quel point j’étais un grand ouf. Même ma voiture, dans ma cité, je la laisse ouverte et les gars ne la touchent pas. « Ce gars-là on le connaît depuis 18 ans ». « Je suis pasteur maintenant ! ». « Non, non, non, sait-on jamais parce que… ».
Vous voulez jouer avec Jésus ? Il va vous prouver qu’il est grand. Il a fait taire les grands délinquants. Paul était un grand délinquant. Jésus lui dit « Tu vas voir, je vais te prouver que c’est moi qui veille sur les yeux des hommes, je te rends aveugle et tu vas tâtonner. Et un certain Ananias, qui n’est même pas connu, qui n’a même pas de titre c’est lui qui va te baptiser ».
(…)
Tu n’as rien fait mais les gens se lèvent pour pouvoir te condamner, te critiquer. Il ne faut pas chercher loin, ce n’est pas Satan. Dis à ton voisin ce n’est pas Satan. Parce que Satan est au contrôle du Seigneur. Il est au service du Seigneur. Dieu le contrôle. Ça veut dire que Dieu utilise Satan pour t’égorger. Le sang va couler. Un sacrifice dont le sang ne coule pas n’est pas agréable à Dieu. Il faut que ton sang coule.
Et Dieu dit à Paul « Paul, toi qui étais un ex-délinquant écrit que le combat n’est pas charnel, que le combat est spirituel. Nous n’avons pas à lutter contre la chair et le sang ». Paul dit « Moi Paul quand j’étais… ». C’est ça qui est bien avec le Seigneur c’est toujours au passé, « Quand j’étais. Maintenant, je suis ».
Frères, les gens qui font des vidéos là, je connais leur vie, c’est l’impudicité. Donc je ne peux même pas aller sur le net pour faire des vidéos aussi pour déballer leur vie. Dieu dit « Tais-toi, il faut te taire ». J’ai dit « Seigneur, tu es en train de me sacrifier bien comme il faut ». Je croyais que j’étais sacrifié. Le sacrifice de ta vie c’est un sacrifice perpétuel. Ce n’est pas facile.
Tu as commis une grande erreur que de venir à Jésus.
Je regarde beaucoup de jeunes qui sont avec nous. Il y en a ils avaient l’onction, ils avaient la Parole mais ce qu’ils n’ont pas compris c’est qu’ils ont amené l’esprit de la cité. « Yo man. Je fais ce que je veux moi. Moi, moi, moi ». Quand on les corrige. « Non ! ». Toi on n’a pas encore fini de te ramasser, on va bien te ramasser encore jusqu’à ce que tu vas être un vrai cadavre et que tu vas sentir la pourriture. Là, là les corbeaux vont venir pour pouvoir te manger après.
Frères, qui veut avoir l’onction ? Et qui veut mourir ? Très peu de gens !
Dieu dit il faut égorger le veau.
Qui sont ceux qui ont déjà été à l’abattoir ? Vous savez quand on égorge les animaux « aaaah ». Quand j’étais à Kinshasa, je voyais les chèvres… A Kinshasa quand on y était on allait manger des fois des cabris et je voyais les chèvres qui étaient là et qui attendaient leur tour. J’ai posé la question au monsieur qui travaillait là-dedans, j’ai dit « Est-ce que ces chèvres-là, savent-elles qu’elles vont être égorgées ? ». Il me dit « Oui, oui ». Tu voyais leur tête mais c’est… et j’ai dit « Mais comment le savent-elles ? ». Il me dit « Mais quand on égorge leurs amies là, ça crie ».
Ah la vie chrétienne. « Yo man, Yo man, je fais ce que je veux. Je suis dans une cité ». Ici ce n’est pas la cité ici c’est le Royaume de Dieu. Dans ce Royaume il y a un seul qui règne son nom c’est Jésus. Si Jésus voit que tu règnes, il va te tuer. Tu vas pleurer. « J’en peux plus ». Tu n’as pas le choix. Soit c’est l’enfer soit c’est la nouvelle Jérusalem. Alors t’as pas le choix. « Oh je veux abandonner ». Tu abandonnes ? « Oh j’abandonne ». Abandonne ! Je viendrais en enfer te saluer. Abandonne ! T’as pas le choix. Dis à ton voisin tu n’as plus le choix. Ah ! Bah oui !
Nous voyons souvent Satan partout. « Oh ! Satan m’attaque. Satan m’attaque. Satan, Satan, Satan… ». Des fois il se plaint. Satan ici, Satan là-bas… Arrêtez ! Dieu est au-dessus de Satan. Dieu n’est pas surpris quand les attaques viennent. C’est comme si Dieu il allait dire « Ah ! Mon enfant je ne savais pas que tu allais être attaqué comme ça ». C’est lui qui planifie tout. Je veux dire à ceux qui craignent Dieu, si tu es dans une épreuve alors que tu crains Dieu alors il faut…
Pourquoi le sel ? Parce que le sel doit nous donner de la valeur. Parce que sans le sel tu n’as aucune valeur, voilà pourquoi il faut le sel.
Ce qui est bien avec Dieu c’est que quand il t’appelle il te donne de belles prophéties « Tu vas voyager, tu auras des miracles, des prophéties ». « Oh ! Alléluia ! ». Tu montes dans la barque et une fois dans la barque là, la réalité commence à être bien claire. Tu comprends maintenant qu’il faut traverser. Mais dans la traversée là il y a le vent mais le Seigneur il dort. Selon l’homme, il dort mais selon l’Esprit celui qui garde Israël ne dort ni ne sommeille.
Des fois je me dis « Seigneur, laisse-moi je vais me barrer, je vais partir loin ». Après tu te dis « Bon si je prends l’avion, dans cette avion Dieu contrôle l’air comme je n’aime pas les turbulences donc si je tombe là je vais aller où ? ».
Donc t’as pas le choix. Frère, tu dois être égorgé. Vous croyez que Dieu est dans les sentiments ? Parce qu’il t’aime tellement qu’il ne va pas t’égorger ?
Et sans défaut.
Et Dieu dit… Lévitique 1 : 6  Il dépouillera l'holocauste, et le coupera par morceaux.
Il va dépouiller. Dis à ton voisin dépouiller. C’est la circoncision.
Tu es délinquant non ? Ah oui ! Viens à Jésus. Ex délinquant viens, viens, viens… Ex fille de cité qui faisait tomber des hommes. Tu viens à Jésus tout ça… maquillage tout ça. Y a rien ! Tu vas rencontrer nous autres, nous autres qui étaient grands, les gars qui ont trainé avec les gars de tribal jam. Viens, viens.
En tant que holocauste, Dieu, d’abord te dépouille. De quoi ? De toi-même. Avant dans le monde tu étais « tatataaaa » quand tu appelais. Ta langue là, fini.
Je me rappelle quand j’étais dans le monde bien comme il faut, tous les week-ends j’allais squatter chez ma femme, à l’époque où je n’étais pas encore marié, chez ses parents et quand j’arrivais chez elle le week-end j’avais des coquards partout, tout ça parce que je faisais la bagarre à chaque fois. C’était chaud. Mais t’arrive dans le Seigneur, Dieu commence… le dépouillement ça prend du temps.
Parce qu’il y en a qui sont dépouillés par le Seigneur ça pleure, ça gémit. Tu peux quitter l’assemblée pendant quelques mois, ce n’est pas grave, mais tu vas toujours revenir parce que le Seigneur est en train de te changer, de te travailler. On dit amen mais dans le cœur on pleure.
Colossiens 2 : 11 Et c'est en lui que vous avez été circoncis d'une circoncision que la main n'a pas faite, mais de la circoncision de Christ, qui consiste dans le dépouillement du corps de la chair.
Ephésiens 4 : 20 à 24 Mais vous, ce n'est pas ainsi que vous avez appris Christ, si du moins vous l'avez entendu, et si, conformément à la vérité qui est en Jésus, c'est en lui que vous avez été instruits à vous dépouiller.
Dieu doit te dépouiller mais toi-même aussi tu dois te dépouiller.
Le dépouillement c’est quoi ? Tu avais un manteau dans le monde quand tu es arrivé au Seigneur, ce manteau-là tu dois t’en débarrasser. Le dépouillement peut te coûter tes amis, peut te coûter ta vie. Imagine-toi quelque chose qui est collé à toi. Le dépouillement c’est le fait d’enlever la peau. Ça fait mal. Et comment Dieu s’y prend-t-il pour pouvoir te dépouiller ? Il va utiliser des gens que tu pouvais écraser facilement avant. Il va les utiliser pour te casser, pour te critiquer. Et en plus de ça il te dit « Bénis-les ! ». Quel exercice ! « Seigneur tu veux que… non, non, non ». « Non seulement que tu vas prier pour eux mais tu vas les bénir ». Ton mari te blesse et Dieu dit « Bénis le ! ». Ta femme te trompe, Dieu dit « Pardonne-lui ! ».
Jésus ? Non ! Mon ami, laisse tomber. Je suis encore en train de le découvrir encore autrement actuellement. Je croyais le connaître. « Ahh ! Seigneur, après tant d’années, vingt-quatre ans de vie chrétienne, c’est que maintenant que tu m’ouvres encore les yeux ? Mais t’es grand ! ».
Il faut dépouiller l’animal parce que la peau elle est sale, elle est sale. Tout au long de ta vie, ta peau spirituelle a été polluée, ton cœur pollué. Dieu dit « Il faut maintenant te dépouiller ». Il y a des blessures. Tu peux gémir, tu peux pleurer, crier.
J’ai vu des gens que j’ai formés en Christ, prier pour eux, Dieu leur a donné l’onction, ils se lèvent comme ça ils disent « Tu es sorcier ». Dieu dit « Il faut les pardonner ». « Ah ! Quand même Seigneur ». Tu dis « Mais ces petits-là, ces petits là, ce gars… ». Dieu dit « Faut pardonner ». T’en as, ils arrivent comme ça, tu dis « Toi, Dieu me montre tu vas prophétiser », l’onction de prophétie tombe sur lui, il se met à prophétiser. Un an après il devient grand prophète et le lendemain, il s’en va, il dit « Non, tu es sorcier ». Dieu dit « Il faut bénir ! ». Vous voyez le dépouillement ? Dieu te tue.
Frères, les dons de l’Esprit vous les avez gratuitement. Le salut on l’a gratuitement. Mais la confiance de Dieu, le fait que Dieu agrée un homme… Non, ce n’est pas comme ça. Il faut que tu passes par le feu. C’est dans le feu que Dieu va t’agréer.
L’holocauste là, tu es d’abord dépouillé. Une fois que tu es dépouillé maintenant il faut te couper par morceaux. L’épée de l’Esprit va couper des morceaux là. L’assemblage là que le monde t’a donné, Dieu va te dépiécer. Tu auras l’impression que tu es complètement dépiécé, que ta jambe est de l’autre côté. Tu n’es plus normal. Maintenant, on prend les morceaux-là et on les met sur l’autel, la croix. Et Dieu dit « Maintenant, le feu vient ». Le feu c’est le jugement, le jugement, le jugement. Le feu représente les critiques des hommes, représente le rejet des hommes, la condamnation des hommes. Dieu permet que les hommes te jugent, te condamnent, te brisent, te marchent dessus. Tu vas te retrouver des fois sans-domicile, tu te retrouves dans la rue avec le nom de Jésus, tu te retrouves complètement seul, incompris, tu pries pour les gens, Dieu les guérit, ils disent après « C’est la magie ». Tu ne comprends plus rien. Tu bénis les gens, tu pries pour eux, personne ne pense à toi, à ce que tu vas manger. Mais Dieu permet cela.
L’holocauste !
D’abord, c’est un animal sans défaut. Deuxièmement, on le dépouille. Troisièmement, on le coupe en morceaux. Quatrièmement, on met du sel dessus. Cinquièmement, le feu. On le met sur l’autel, le feu.
Et en plus de ça, cette offrande aucun sacrificateur n’avait le droit de la toucher. Elle appartenait entièrement à Dieu, le feu la consumait entièrement. Elle était brûlée sur l’autel. Et en plus de ça tout le monde observait cette offrande comment elle était consumée.
Vous savez quand Dieu va te consumer par le feu de l’adversité, des critiques, les gens vont être au courant. Dieu c’est comme s’il va convoquer tout le monde. « Regardez cette offrande ». Voilà pourquoi dans Psaumes 23 Dieu dit « Je dresse une table devant toi en face de tes adversaires ». Les gens vont t’observer, ils vont se mettre à parler. Satan également, les démons également, les sorciers, les gens de ta famille, les gens que tu as connus dans le monde, ils vont observer ta chute. Ils vont jeûner pour ta chute. Ils vont espérer ta mort. Ils vont dire « Dieu n’est plus avec toi ». C’est comme si c’est eux, c’est comme si c’est eux qui t’ont enseigné Dieu. « Dieu n’est plus avec lui, c’est fini, c’est la mort, il faut l’oublier. Il est enterré. Elle est enterrée ». Et Dieu te met dans ce feu. Et là il te dit « Garde le silence ».
Les gens auront des fois des visions fausses. « Je t’ai vu dans l’impudicité. Je t’ai vu dans l’adultère ». Alors que tu n’es pas dedans. Dieu permet toutes ces choses-là, le Dieu souverain qui contrôle le temps et les circonstances. Dieu amène l’adversité. Dans Esaïe il dit « Je crée l’adversité ». Il te mettra dans une situation tellement inconfortable, tellement dramatique que tu n’auras pas d’autres solutions que Dieu.
Tu vas des fois te mettre dans la dépression, limite dépression. Tu vas dans la rue marcher seul, tu vas commencer à parler tout seul. Tu vas commencer à parler, à parler. Tu vas manquer de mots pour prier. Tu vas lire les psaumes, les psaumes ne vont plus suffire. Tu vas parler en langues, ça ne va plus suffire. Tu n’auras plus aucune parole sur ta langue, et Dieu te mettra dans un tel feu. Tu risques de remettre en cause les promesses de Dieu dans ta vie, de remettre en cause ton appel. Et c’est là qu’il ne faut surtout pas commencer à critiquer, à parler, à trop chercher une solution charnelle.
Il faut rester dans le silence parce que Dieu t’impose le silence. Il est en train de te consumer, il est en train de se révéler à toi comme le Dieu qui aime l’offrande de ton corps, l’offrande de ta vie, l’offrande de ton cœur, l’offrande de tes pensées. Dieu ne veut pas que tu gardes un petit pourcentage pour toi-même. Dieu veut que tu exposes toutes les zones de tes pensées, toutes les parties de ton corps. Aucune partie de toi ne doit revenir ni à ton mari, ni à ta femme. Dieu te demande la totalité, l’intégralité de ta vie. L’intégralité de tes biens, l’intégralité de ta beauté, de tes yeux, de ta bouche, de ta langue. Tout, tout ! Dieu dit « Femme. TOUT ! ».
On nous a tellement dit que Dieu veut l’argent. Non, c’est toi que Dieu veut. Toi ! C’est moi. Ta vie. Il va te mettre dans le Gethsémané spirituel. Dans ce jardin où ta sueur va se transformer en sang, en grumeaux de sang. La souffrance. Seul ! La solitude, l’incompréhension. Il te met dans une école. Il y a l’école de l’incompréhension de ton entourage. L’école de l’oubli comme l’école de Joseph dans la prison où on t’oublie. L’école de l’opposition comme Joseph avec ses frères. L’opposition !
Il va permettre à ce que de belles femmes t’approchent, des hommes beaux t’approchent pour voir si tu vas réagir, si tu vas tomber. Il va te mettre à l’épreuve. Il va permettre. Est-ce que tu vas résister aux belles femmes ? Est-ce que tu vas honorer son nom jusqu’au bout ? Est-ce que tu l’aimes parce qu’il t’a guéri ou est-ce que tu l’aimes parce qu’il est Dieu ? Jusqu’à quel point l’aimes-tu ?
L’holocauste !
Et dans Romains 12 Paul dit « Je vous exhorte par les compassions de Dieu à offrir vos corps comme un sacrifice ». Le mot sacrifice dans Romains 12 en grec c’est holocauste.
Tu ne peux pas soutenir financièrement, matériellement l’œuvre de Dieu correctement si ta vie n’est pas entièrement consumée. Tu dois atteindre un niveau où tu n’as plus besoin qu’on te parle d’argent pour l’œuvre de Dieu. Il y a des enseignements qu’on doit laisser de côté parce qu’on est tellement consumé qu’on réalise que notre vie appartient à Dieu donc on a plus besoin de nous parler de son Royaume parce que nous comprenons les urgences, l’urgence du Royaume, l’intérêt du Royaume.
Et là Dieu dit « C’est un sacrifice vivant, saint et agréable ». Il ne veut pas un sacrifice mort. Vivant ! Pourquoi vivant ? Parce que c’est lui-même qui va d’abord t’égorger. Deuxièmement, il te dépouille. En tant que sacrifice vivant tu éprouves la douleur, la souffrance de ce dépouillement.
Tu auras des doutes. « Est-ce que réellement Christ est-il Dieu ? Est-ce que j’ai fait un bon choix en devenant chrétienne ? Est-ce que je ne me suis pas trompé en méditant la Parole de Dieu ? Est-ce que ce n’est pas mieux le monde, les amis du monde ? Quand j’étais dans le monde, dans les boîtes de nuit, les amis du monde étaient beaucoup plus joyeux ». Tu vas te poser tout un tas de questions comme ça. Le plus important ce n’est pas l’engagement que tu as eu à faire en devenant chrétien mais c’est la fin de cet engagement. Vaut mieux la fin d’une chose que son commencement. C’est la fin ! C’est à la fin qu’on saura comme Paul pouvait dire « J’ai combattu le bon combat, j’ai gardé la foi, j’ai achevé la course ».
Tu vas te rendre compte que le monde chrétien il y a tellement de gens qui sont faux, ils sont là à l’affut de la moindre erreur pour pouvoir te tuer, t’écraser. Y en a même qui sont prêts à prendre le micro pour casser des frères, pour détruire, parce qu’on leur a dit on est libre en Christ, ils se permettent n’importe quoi. Dieu permet ces choses-là. Il faut une vie brisée pour que l’onction puisse couler bien comme il faut. Il faut une vie consacrée.
Maintenant vous comprenez que toutes ces offrandes représentaient d’abord le corps du Christ. Ces offrandes représentent également ma vie, ta vie.
Dans Romains chapitre 15 verset 16 Paul dit que les chrétiens sont une offrande à Dieu. Voilà l’offrande que Dieu veut, ta vie, ta jeunesse, ta vie, mon frère, ma sœur en dépit de tes combats, de tes difficultés, en dépit du rejet dont tu fais le l’objet. Dieu dit « Donne-moi encore ta vie ».
Celui dont la vie est sacrifiée est mort. Il ne dit plus « Mon argent, mes biens ». Non il dit « L’argent du Seigneur. Les biens du Seigneur ». Il ne dit plus « Moi, moi, moi, moi, moi, je, je, je, je ». Le moi il est mort. Il dit « Si Dieu le veut je ferai ceci, je ferai cela. Que sa volonté soit faite ». Il dit « Seigneur, si c’est possible que ce combat s’éloigne de moi mais toutefois non ma volonté mais Ta volonté, Seigneur. Ta volonté ».
Vous savez ce que c’est de perdre son père pendant que les gens pleurent son corps Dieu te dit « Va prêcher ma Parole ». T’es mort ! Vous savez ce que c’est quand on reçoit 500€ Dieu dit « Prends tout et donne à tel frère ». T’es mort ! Et la priorité pour toi c’est Dieu.
Beaucoup de gens pensent parce qu’ils prophétisent et la prophétie ou les prophéties s’accomplissent ils pensent qu’ils sont déjà arrivés. On ne peut plus leur donner des conseils, ils sont déjà devenus grands. Homme de Dieu, femme de Dieu. Ils n’ont pas compris que la vie chrétienne est une vie de sacrifice. Voilà pourquoi le Seigneur dans Luc dit chaque jour chacun doit porter sa croix parce que c’est un sacrifice perpétuel. Tous les jours tu dois te sacrifier parce qu’il y a la tentation. Le salut tu l’as gratuitement. Mais Dieu veut t’agréer femme, Dieu veut t’agréer jeune homme. Oh ! Oui. C’est comme une montagne que tu grimpes. L’ascension est très difficile. Il y en a qui se fatiguent, qui n’arrivent plus. Ils aiment tellement leur femme. Elles aiment tellement leurs copains qu’elles ont du mal à lâcher, à dire « Seigneur, cette fois ci je sacrifie tout ».
Quelle est la chose qui te domine ? Quelle est la personne qui te domine ? Dieu dit comme Isaac « Sacrifie-moi ton Isaac. Donne-le. Donne-le ». Si c’est la couleur de ta peau. Dieu dit « Sacrifie là ». Si c’est ta famille, le nom que tu portes Dieu dit « Sacrifice ce nom ». Si c’est ton argent, sacrifie le.
Et un sacrifié c’est quelqu’un qui ne voit plus les autres par rapport à leur origine. C’est quelqu’un qui apprend à aimer les autres, à encourager les autres.
J’apprends que des jeunes qui ont été formés dans ce ministère par des frères qui sont partis commencer des églises qui viennent semer la zizanie parce qu’on leur a dit que c’est la liberté en Christ. Vous voyez mes amis ? La liberté, on l’utilise mal maintenant parce que les gens ne sont pas morts, ils ne sont pas sacrifiés.
Dans les assemblées d’où vous êtes sortis, est-ce que vos pasteurs vous donnaient le micro pour parler ? Vous voyez comment on bafoue la grâce ? Parce qu’on n’est pas sacrifié.
La même Parole que (…) nous dit quoi ? Ayez de la considération pour ceux qui travaillent parmi vous qui sont considérés comme anciens.
On se permet d’aller dans ces assemblées, mêmes paganisées, pour parler mal à ces pasteurs. Ce n’est pas ce qu’on vous a enseigné. Quelqu’un de sacrifié va jeûner pour les pasteurs, va pleurer pour eux, va gémir. Parce que « la connaissance enfle mais l’amour édifie ». On a mal compris le message. Beaucoup l’ont mal compris.
Frères, le chemin est long. J’ai toujours dit aux frères et sœurs qui sont avec moi le chemin est long. (…) Ce n’est pas ce qui est le plus important. C’est la détermination. C’est à la fin, quand on va atteindre la ligne d’arrivée.
Donc ça veut dire qu’au jour d’aujourd’hui si tu veux adorer Dieu, ne va pas les mains vides c’est-à-dire Dieu veut que tu t’offres et dans le quotidien. Ce n’est pas l’argent. Celui qui est offert à Dieu il n’aura pas de problème pour pouvoir aider les frères et sœurs financièrement. Logiquement dans nos réunions d’églises on ne doit même pas parler d’argent. Celui qui est consacré à Dieu n’a pas besoin qu’un pasteur lui dise « donne » parce que sa vie appartient à Dieu donc tout ce qu’il a appartient à Dieu.
Cette église glorieuse consacrée, consumée par le feu c’est celle que Dieu va venir chercher.
Suis-je prêt ? Es-tu prêt ? Es-tu prête ? La vie chrétienne c’est quoi ? C’est une vie de pleurs.
Ceux qui n’ont pas encore donné leur vie à Jésus, je vais vous dire c’est une vie de souffrance mais si tu veux aller au ciel tu n’as pas d’autre choix que de passer par la porte étroite. On n’a pas dit que la porte est large. Elle est étroite. Le chemin est resserré. Pour y entrer il faut se faufiler. Et en entrant par la porte, automatiquement il y a des morceaux de ta chair qui restent. Tu te faufile « Arghh ». On te pousse « Arghh ». Jusqu’à la fin tu dois faire ça.
Mais le chemin est large, la porte est large. Oh ! C’est Babylone. Babylone tu vas sauter, tu vas danser, copains, copines, prospérité. Il faut que tu aies un 4 X 4. Il faut que tu aies une villa, piscine. Ah ! C’est large.
Mais la porte étroite. Tu vas pleurer. Mais tu peux plus faire marche arrière parce qu’il y a beaucoup de monde derrière toi qui te pousse.
Voilà pourquoi Paul dit dans Ephésiens, dans Galates « Si je vis ce n’est plus moi qui vit mais c’est Christ qui vit en moi ». Paul était mort.
Maintenant quand les belles femmes viennent me voir pour me draguer, comme y en a qui sont venues maintenant je vois plus clair encore. Mes cocottes là… fini ! Parce que t’es mort.
Un mort… allez dans une morgue. Donner un coup de pied. Le mort va se lever, il va dire « Ecoute s’il te plaît, je me réveille, je vais retrousser mes manches, je vais te rendre la pareille et après je vais mourir de nouveau ». C’est ça non ? Vous lui crachez dessus. Il fait quoi ? Il est mort !
Donc si les gens te tapent. Tu fais quoi ? On dit viens, viens un peu.
J’aime Jésus. J’aime Jésus. Les apôtres s’attendaient à un Messie qui allait prendre les armes pour les libérer des Romains. Et le Seigneur vient, il dit « Ecoute, Pierre ». « Oui, Seigneur si on te frappe sur la joue gauche… ». Pierre, il dit « Je vais sortir l’épée ». Jésus dit « Non, non, non, mon enfant tu donnes l’autre joue ». Voilà le message du Seigneur.
Tu es mort ! Tu es le sel de la terre. Tu es mort. On t’insulte « Sorcière, magicienne, tu es mauvaise, fausse prophétesse ». « Ohhhh ! On parle de moi. On parle de moi ?!? ». Tu es mort. Tu es un cadavre.
Écoutez, elle est morte non ? Un jeune homme vient devant elle « Oh ! Tu es belle ». De belles paroles pour la séduire. Comment doit-elle réagir ? Elle est morte. Morte à la séduction comme Romains 6 le dit. Considérez-vous comme morts au péché.
Quelqu’un est-il mort ici ? En voie de mourir. Qui sont ceux qui sont en train de mourir ? Qui ne sont pas tombés encore morts ? N’ayez pas honte. On va vous tuer cet après-midi.
« Moi, moi, on ne me parle pas comme ça ». Jésus on lui a parlé comment ?
Alors venez à Dieu avec l’offrande que vous êtes. Venez, venez, venez avec l’offrande de votre vie.
Tu vas dire à cette offrande que tu es « Aujourd’hui, je t’offre à Dieu ».
(…)

Vous pouvez retrouver cet enseignement sur le site http://www.levraievangile.com.

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Matthieu 25:1 à 13

Alors le royaume des cieux sera semblable à dix vierges qui, ayant pris leurs lampes, allèrent à la rencontre de l'époux. Cinq d'entre elles étaient folles, et cinq sages. Les folles, en prenant leurs lampes, ne prirent point d'huile avec elles; mais les sages prirent, avec leurs lampes, de l'huile dans des vases. Comme l'époux tardait, toutes s'assoupirent et s'endormirent. Au milieu de la nuit, on cria: Voici l'époux, allez à sa rencontre! Alors toutes ces vierges se réveillèrent, et préparèrent leurs lampes. Les folles dirent aux sages: Donnez-nous de votre huile, car nos lampes s'éteignent. Les sages répondirent: Non; il n'y en aurait pas assez pour nous et pour vous; allez plutôt chez ceux qui en vendent, et achetez-en pour vous. Pendant qu'elles allaient en acheter, l'époux arriva; celles qui étaient prêtes entrèrent avec lui dans la salle des noces, et la porte fut fermée. Plus tard, les autres vierges vinrent, et dirent: Seigneur, Seigneur, ouvre-nous. Mais il répondit: Je vous le dis en vérité, je ne vous connais pas. Veillez donc, puisque vous ne savez ni le jour, ni l'heure. Matthieu 25: 1 à 13