La moisson et l'ouvrier - Shora Kuetu


 

Luc 10 : Or après ces choses, le Seigneur désigna soixante-dix autres disciples, et il les envoya deux à deux devant lui, dans toutes les villes et dans tous les lieux où il devait aller. Il leur dit : La moisson est grande, mais il y a peu d'ouvriers. Priez donc le Maître de la moisson d'envoyer des ouvriers dans sa moisson.Allez, voici, je vous envoie comme des agneaux au milieu des loups.
Nous allons parler de la moisson et des ouvriers. Le Seigneur fait la grâce comme vous le voyez d’aller de plus en plus loin avec l’Evangile. La plus longue et la plus difficile mission que nous avons faite c'est la Polynésie française, 21 heures de vol, avec des escales. Et quand nous sommes arrivés en Polynésie, un territoire aussi grand que l’Europe. Ce qui nous a marqué quand nous sommes arrivés, c'est que les frères et sœurs n’avaient jamais vu une seule délivrance. Les églises ne connaissent pas la délivrance. Les démons ne sont pas chassés. J’ai vu des frères et sœurs tellement assoiffés qui nous ont dit : « on n’a jamais entendu parler de cet évangile ». Je dis « Seigneur comment ça se fait ?». Prochainement, nous ferons la Nouvelle Calédonie, si Dieu le permet. Près de 30h de vol. Pareil, là-bas, nous avons des emails de frères et sœurs qui nous disent : « venez nous apporter ces enseignements, parce que ici il n’y a plus rien. » Et quand on regarde même ici en Europe, il y a beaucoup de gens qui ont soif, beaucoup dans le monde… nous sommes dans un temps où c'est la moisson. Croyez-moi, on nous a fait croire pendant des années que l’Europe est un continent difficile, que les européens ne cherchent pas Dieu… C'est faux ! Beaucoup d’Européens de manière globale connaissent leur signe astrologique, donc y a une soif, un besoin qui est là. Le problème, c'est que des ouvriers, y en a très peu.

Au lieu d’être des ouvriers, beaucoup sont devenu des patrons. Nous sommes allés en Côte d’Ivoire, on était une quarantaine de l’Europe, une centaine qui sont venu d’autres pays africains. Nous sommes allés dans ce village à Vitré, et là on s’aperçoit qu’il n’y a pas l’Evangile… Alors que c'est un village qui est à 1h30 d’Abidjan …
Que faisons-nous, nous qui avons reçu la Parole, nous qui nous disons chrétiens, qui disons t’aimer ? Que faisons-nous ? Laissez-moi vous dire que malheureusement, beaucoup d’ouvriers sont tombés dans la distraction avec les « on dit », le net, les réseaux, etc… « Vous avez vu, vous avez entendu… ? », et ils ne se rendent même pas compte que le temps s’écoule, tel un sablier.
[…]
La moisson est tellement grande. Quand vous voyagez comme ce fut le cas à Vitré, et que voyez des enfants sorciers, de 2-3 ans, qui sont nés sorciers depuis le ventre de leur mère, ont été initié, ils sortaient astralement pour aller assister à des réunions avec le diable sur la manière d’envouter des gens, de détruire des foyers, ces enfants-là, si nous qui avons reçu la vérité nous n’avons pas compris notre mission, notre rôle, Dieu nous demandera des comptes.

En fait, il y a une urgence. L’urgence est vraiment là. La moisson est grande, les gens sont en attente, les gens ont soif. Les ouvriers sont devenus des patrons, parce qu’au lieu d’aller à la rencontre des gens qui sont malades qui ont soif, comme le Seigneur, ils sont assis confortablement et ils veulent que les gens viennent à eux. Quand je regarde la manière dont Dieu s'est servi des gens comme TL Osborn, qui était un grand homme de Dieu, qui nous a tous marqué, encouragé par son intégrité, qui allait de lieu en lieu avec son épouse pour évangéliser des foules, pour amener des Bibles, des ouvrages, des messages audio pour diffuser la Parole, je me dis où sont ces prédicateurs aujourd'hui. Où sont-ils ?
Mes amis, mes ouvriers, ces hommes et ces femmes qui sont enfermés dans leur bâtiment, qui sont en costume et cravate, bien embelli, qui ont la peau bien éclaircie, et vous pensez que ce sont les ouvriers que Dieu veut ? – Non.
Les gens qui vont faire des appels de fonds pour construire des bâtiments qu'ils appellent église qui coutent 1 million, ce n’est pas ça … si les gens les suivent c'est parce qu’ils ont soif, et qu'ils n’ont pas d’autres alternative, notamment en parlant des vrais enfants de Dieu. Le Seigneur dit que la moisson est grande, mais il y a peu d’ouvriers, et malheureusement, il y en a toujours eu peu. A l’époque d’Elie, tout un pays était possédé par Jézabel, sous le contrôle de Jézabel. Les juifs croyaient adorer les vrais dieux, ils adoraient Baal, Astarté… ils croyaient servir Dieu, les offrandes qu'ils donnaient à Baal, ils pensaient les offrir à Dieu… comme beaucoup de chrétiens aujourd'hui, quand ils paient leur dîme. Et là, on s’aperçoit que toutes ces années-là, on a en fait servi des hommes, leurs dénominations, parce que ces âmes-là gagnées, au lieu de les amener au Seigneur, on les enferme dans les dénominations, dans les bâtiments d’église.
Un jour, avant que Dieu ne me dise : « donne l’autonomie aux églises que je t’ai fait implanter », je commençais à compter les églises. Un jour Dieu m’a dit : « pourquoi tu les comptes ? Il m’a dit je te donne toute la terre entière comme un bâtiment. Considère-la comme un bâtiment, et dedans tu as les âmes. Maintenant tu vas construire quel bâtiment pour moi ? » Faut sortir de là.
Comment faire pour être un ouvrier dans la moisson du Père ? Parce que nous sommes là pour une mission, pour un but précis… Oui il faut faire des études, pour avoir un métier, pour pouvoir travailler, gagner sa vie. Tout ça, ce sont des moyens que Dieu nous donne pour atteindre ses objectifs à lui. C'est-à-dire la vision principale pour laquelle le Seigneur nous a mis sur terre, c'est d’abord pour l’adorer, mais aussi pour apporter sa révélation aux créatures qui meurent, qui ne connaissent pas Dieu. Et je tiens à dire aussi que nous sommes tous en tant qu’enfants de Dieu membres d’un corps et chaque membre à une fonction qui lui est bien assignée, donc personne n’est à négliger, personne ne peut dire : « moi je ne suis rien, je ne peux rien comme les autres ». Non, nous avons tous un travail à fournir. Tous ! Et chacun doit prier le Seigneur pour qu'il sache ce que Dieu attend de lui. Et vous savez, la mort d’un chrétien correspond à la fin de sa mission ou de son parcours terrestre, quand il a effectué sa mission, Dieu le prend. En fait, ça correspond à la cueillette des fruits. Le fruit est mûr, Dieu prend ce fruit. C'est ça la mort d’un chrétien.
Comment voulez-vous que le Seigneur soit glorifié si nous nous sommes focalisés sur nos problèmes personnels. C'est l’erreur que beaucoup de chrétiens commettent. Ils ont des problèmes, des combats, mais ils sont tellement focalisés sur leurs problèmes qu'ils vont chercher des solutions à leur problème au lieu de se dire : « Seigneur qu’est-ce que tu attends de moi ? Qu’est-ce que tu attendes que je fasse, que je n’ai pas encore fait ? »
Et chacun de nous à son niveau, peut faire avancer les choses. Celui qui s’occupe des affaires de Dieu, Dieu s’occupera de ses affaires. C'est beau de voir des frères et sœurs qui se lèvent, mais je dis toujours aux frères et sœurs, cherchez à savoir ce que Dieu attend de vous d’abord. Qu’est-ce que toi tu peux apporter à ton niveau ? Tu es médecin, infirmier, qu’est-ce que tu peux apporter ? Tu es avocat, tu as des moyens ? Qu’est-ce que tu peux apporter ?
Il faut qu’on ait la vision globale de notre Père, qu’on sorte de la vision locale (bien que la vision locale soit biblique), mais nous devons d’abord avoir une vision globale, c'est-à-dire le corps de Christ, les besoins qu’il y a. Et quand on a cette vision, on ne va pas être raciste, on va être pour la terre !
A l’époque d’Elie, il n’y avait pas beaucoup de missionnaires, d’ouvriers. Dieu avait caché 7000 ouvriers parce que c’était la persécution et Elie était le seul ouvrier sur la place publique. A l’époque de Noé, il y avait très peu d’ouvriers. A l’époque de Jérémie, très peu. A l’époque de Michée, il était seul face à 400 prophètes.
Ne dites pas : « Mais moi qu’est-ce que je peux faire ? Je ne suis pas comme untel, je n’ai pas cette onction ». Chacun a reçu un appel, une fonction, quelque chose de la part du Seigneur. Cette connaissance que vous emmagasinez depuis des années, ce n’est pas pour rester assis. Ce n’est pas seulement pour aller au programme, exposer mes combats, etc… Non, il faut passer à autres chose. Vous êtes guéri, délivré, ok et après ? Après la délivrance, vous faites quoi ? On n’est délivré pour aller délivrer les autres. C'est ça la vision. Sinon on devient égoïste et idolâtre.
Celui ou celle qui fait l’œuvre de Dieu, là où Dieu l’a établi, celui ou celle qui fait la volonté de Dieu, dans ce que Dieu veut, mais l’ennemi ne peut pas te toucher si tu crains Dieu ! Je vous assure. Il y a beaucoup de choses que vous pouvez faire. Je vois des frères et sœurs qui reçoivent des chants de la part du Seigneur, je leur dis mais « vous en faîtes quoi ? ». Vous avez des chants que Dieu vous donne, des cantiques, il faut les partager à moins que le Seigneur vous demande de ne pas le faire. Il faut mettre nos dons, nos services que Dieu nous donne. Ne commencez pas à raisonner en disant : « mais si je parle à mon voisin, il ne va pas me croire ». Notre rôle n'est pas de convertir les gens par la force, notre mission, ce n'est pas nous qui changeons les gens. Nous plantons, et quelqu'un d’autre va faire croitre. Commencez par faire ce que Dieu veut. Demandez au Seigneur ce qu'il attend de vous. Moi c'est que je demande souvent.
Il y a des choses que l’on peut faire, chacun à son niveau. Souvent les gens veulent faire des grandes choses tout de suite. En fait, il faut commencer avec le peu que vous avez. Déjà par la prière, prier pour les autres, pour son pays, pour sa ville. Et ensuite, il y a pleins de choses que vous pouvez faire. Je vous assure si chacun faisait ce que Dieu lui demandait, il y aurait moins de distraction, moins de conflits entre nous, les histoires, etc…
Vous vous rendez compte que beaucoup d’entre vous sont restés 15 ans dans les assemblées sans rien faire ? 15 ans et toujours en train de donner la dime. Et quand on va mourir, ou quand le Seigneur va revenir, il va vous dire : « qu’avez-vous fait pour moi ? » - « Mais Seigneur, le pasteur faisait tout pour nous… ». Vous vous êtes tellement appuyé sur vos pasteurs, focalisés sur eux, tellement focalisé sur l’homme, que vous n’avez rien fait pour le Seigneur…
Il y a quelques années, je demandais au Seigneur ce qu'il attendait de moi. Et il m’a dit fais-moi la révision de la Bible. Que quelqu’un qui a BAC+40, ok mais le seul diplôme que j’ai pu obtenir, c'est mon permis de conduire. Et où trouver de l’argent pour réviser cette Bible-là après ? Et pourtant le Seigneur a donné les moyens après ! Je veux vous dire ce matin que c'est possible. Dans nos églises, on nous a infantilisés, on nous a transformé en bébés qui doivent toujours boire du lait : « pasteur, prie pour moi, pasteur ci, pasteur ça ». Mais toi que fais-tu ?
Le Seigneur a dit : « tout est accompli », mais nous qu’avons-nous fait pour DIEU ? Je ne dis pas que parce que nous allons travailler pour Dieu, nous allons être honorés, mais le Seigneur nous aime, Dieu souffre. Savez-vous qu’il y a beaucoup de femmes violées par leurs pasteurs aujourd'hui, savez-vous qu’il y a des âmes qui sont entrain de tomber en enfer, en train de crier : « Dieu, fais-moi revenir sur terre, je veux changer de vie. » C'est trop tard !
Posez-vous la question « Pourquoi Dieu vous laisse encore en vie ». Il y a la tristesse du Seigneur. On gagne de l’argent, on a eu des legs, des dons, l’héritage, on fait quoi ? On est chrétien depuis combien d’années ? On est dans les assemblées depuis combien d’années ? Quand je rencontre des pasteurs je leur dis : « mais vous faites quoi ? » Jésus a nourri les pauvres, il a aidé les pauvres, nous on fait quoi ? Rien !
On a acheté un minibus pour faire des maraudes en hiver pour aller distribuer de la soupe à manger aux gens, des vêtements… et les chrétiens font quoi ? Ils font la guerre entre eux : qui va prêcher, qui va faire ci, qui va faire quoi, qui a plus d’onction, je vais commencer mon ministère à coté, etc… Ils sont là, encore à ce niveau…
Vous savez que les deux plus grands commandements que le Seigneur nous a laissé sont négligés dans les assemblées ? « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de toute ton âme, de toute ta force et de toute ton intelligence, et ton prochain comme toi-même ». Jésus n’a pas dit : « Tu paieras ta dîme, sinon tu iras en enfer ». Jésus n’a pas dit : « Tu feras l’offrande du prophète ». On me disait encore hier, un frère qui me disait qu’un faux prophète congolais qui est venu ici disait que pour le voir, il faut 200 francs suisses, et les gens payaient. Vous êtes des idolâtres, vous avez enrichi ces faux prophètes et il faut se repentir ! Dieu pleure !
La moisson est grande. Un ouvrier, c'est quelqu'un qui se salit les mains. C'est comme un maçon, un charpentier, ça ce sont les ouvriers. Ils travaillent avec leurs mains. Dieu veut des gens qui se mouillent, Dieu veut des hommes et des femmes qui sont capables de donner le dos à ceux qui les critiquent, mais qui malgré cela continuent quand même à faire le travail du Seigneur, parce que l’enjeu est éternel, l’enjeu est spirituel, y a des gens qui meurent, qui vont en enfer, l’heure est grave !
Dieu dit : « il faut aimer, aider son prochain. » Notre prochain ce n’est pas seulement celui qui nous ressemble physiquement, notre prochain c'est tout le monde. Aujourd'hui, des frères et sœurs ont compris, ils ouvrent des épiceries solidaires, des associations, pas pour faire comme l’armée du salut, mais pour manifester l’amour du Seigneur, avoir une autre approche de l’Evangile, dire aux gens que l’amour de Dieu ça se matérialise, c'est dans le concret. Jean dit qu'il ne faut pas aimer en paroles seulement, mais il faut des actions.
Ici, qu’est-ce que vous pouvez faire ? Un jour, tu peux te dire : « Bon j’ai 100 francs, je vais acheter du pain, je vais acheter des sandwichs, je prends quelques Bibles et je pars, je vais voir les SDF qui sont là, les drogués, etc… Ils ont besoin du Seigneur. »
-        « Bonjour, voilà un peu de pain ».
Et puis on discute, vous présentez la parole du Seigneur. Juste ça. Mais les bishops, quand y a des réunions comme ça, ils ont leurs fauteuils en cuir, ils sont assis là devant, sur des estrades, ils font des appels de fonds. Ils disent « Qui sont ceux qui ont 500, 1000 francs, venez on va prier vous », et ceux qui n’ont rien ils font comment ? Ça c'est la moisson ça ?
Beaucoup de jeunes se disent : « nos pasteurs nous ont déçu, on va dans des églises, tout ce qu’on entend c'est : donnez l’argent, donnez-ci, vous allez recevoir ». L’église est devenue comme une loterie, un endroit où les gens vont acheter des bénédictions. Donnez 100, vous aurez 1000. Ils entendent quoi comme message : « moi dans mon église, moi dans mon église, moi Dieu m’a béni j’ai une belle maison… », mais ce n’est pas ça la bénédiction. Et là ces jeunes ont vu leurs parents se faire arnaquer à longueur d’année, à longueur de réunion. C'est grave, ils se disent : « ces églises-là nous on n’en veut plus, on ne voit pas Dieu se manifester, on ne voit rien ! » Les pasteurs sont des véritables voleurs, malheureusement, ils n’ont pas Jésus. Aujourd'hui un chrétien qui se convertit, on le transforme en ouvrier du pasteur, quelqu'un qui va servir le pasteur, qui va plus à l’église locale que le pasteur, et bien voilà comment beaucoup de chrétiens sont déçus. Alors que faire ? Soyons des ouvriers chacun à son niveau.
Ce n’est pas une question d’âge, on peut [l’être]. Si moi qui suis là, sans diplôme, même le diplôme de 3ème je l’ai raté. Et là, je ne suis pas satisfait, y a encore des choses à faire. Et là, le jour où tu partiras, tu pourras dire comme Paul, j’ai combattu le bon combat, j’ai gardé la foi et j’ai achevé la course. Oh quelle parole ! « Désormais la couronne de justice m’est réservée ! »
Un jour le Seigneur dit : « cet arbre ça fait des années qu'il occupe la terre inutilement, coupez-le. » Et les serviteurs ont dit au maître : « on va creuser tout autour, on va mettre du fumier et s’il n’y a pas de fruits on va le couper ». Cet arbre-là représente Israël mais aussi les chrétiens. Vous savez pourquoi beaucoup de chrétiens meurent avant le temps ? Parce qu’ils ne font rien ! Dieu dit : « si je les laisse-là, ils vont être récupéré par l’ennemi, autant les sauver », ils rentre à la maison, mais sans couronne !
Dieu n’a pas besoin de foule, il commence d’abord par une personne, homme ou femme, Dieu commence d’abord par une personne. Tu reçois une vision, la vision qui est née dans ton cœur, elle ne te laisse pas tranquille, ça commence à grandir, ce n’est pas ta chair, c'est Dieu qui te parle !
Dieu dit que c'est lui qui rend capable, ne raisonne pas ! Tu n’es qu’un instrument. Les moyens c'est Dieu qui les donne. Il nous faut des Paul moderne, des Tite, des Timothée, des Pierre, des Jacques… vous savez ce groupe de personne, un véritable noyau seulement, mais des véritables ouvriers. Et on nous dit que c'est la moisson du Père, la moisson c'est le champ. Le champ c'est le monde. Tant que tu seras dans la crainte de Dieu personne ne pourra te toucher. Tant que tu marcheras avec Dieu, personne ne pourra te toucher.
Avant que l’enlèvement ne vienne, la totalité des personnes issues des nations doit s’achever. C'est comme une arche dont la porte est grandement ouverte. Et devant l’arche je vois des gens avec des shofars, avec des trompettes qui sonnent, chacun dans son appel, chacun dans son appel, et je vois des gens qui rentrent.
Le Seigneur dit : « si je t’ai sorti de ta vie de péché, ce n’est pas pour que tu tournes en rond, si je t’ai sorti de la mort, ce n’est pas pour que tu glandes, c'est pour que tu me serves ! »
C'est l’heure ! En rentrant, tu demanderas au Seigneur ce qu'il attend de toi, et tu verras, Dieu te parlera en songe, il te parlera en pensée, il te dira clairement ce qu'il attend de toi.
Pour ton fils qui ne veut pas de Jésus, c'est pas ton problème, Dieu sait. Pour ta fille qui ne veut pas se convertir, Dieu dit que ce n’est pas ton problème, qu’il sait, c'est lui qui convertis, qui convaincs les cœurs, toi sers moi ! Cherchez premièrement le royaume et sa justice, et le reste vous sera donné par-dessus.
[…]

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Matthieu 25:1 à 13

Alors le royaume des cieux sera semblable à dix vierges qui, ayant pris leurs lampes, allèrent à la rencontre de l'époux. Cinq d'entre elles étaient folles, et cinq sages. Les folles, en prenant leurs lampes, ne prirent point d'huile avec elles; mais les sages prirent, avec leurs lampes, de l'huile dans des vases. Comme l'époux tardait, toutes s'assoupirent et s'endormirent. Au milieu de la nuit, on cria: Voici l'époux, allez à sa rencontre! Alors toutes ces vierges se réveillèrent, et préparèrent leurs lampes. Les folles dirent aux sages: Donnez-nous de votre huile, car nos lampes s'éteignent. Les sages répondirent: Non; il n'y en aurait pas assez pour nous et pour vous; allez plutôt chez ceux qui en vendent, et achetez-en pour vous. Pendant qu'elles allaient en acheter, l'époux arriva; celles qui étaient prêtes entrèrent avec lui dans la salle des noces, et la porte fut fermée. Plus tard, les autres vierges vinrent, et dirent: Seigneur, Seigneur, ouvre-nous. Mais il répondit: Je vous le dis en vérité, je ne vous connais pas. Veillez donc, puisque vous ne savez ni le jour, ni l'heure. Matthieu 25: 1 à 13