OU IRIONS - NOUS ?
Shalom à tous et bienvenue dans votre émission
le Chant du coq. Il est 19h32, ici à Evry. Nous sommes bien en direct Sur TV et
radio 2 vie.
Que le Seigneur nous garde au nom de
Yéhoshoua, notre Sauveur, notre Seigneur, notre roi, notre maître, notre
Adonaï.
Que la paix du Seigneur soit sur vous, que
la grâce du Seigneur vous accompagne partout et que son amour vous garde, que sa
présence vous garde. Que son nom soit vraiment béni ! Et nous le bénissons
à cause de sa fidélité, pour sa fidélité qui est grande envers nous.
Seigneur nous bénissons ton nom pour cette
soirée, nous te bénissons pour ta vérité, nous te bénissons pour l'œuvre, pour
ta parole, pour tout Seigneur, pour tout.
Que ton nom soit béni Adonaï, roi des
nations, au nom de Yéhoshoua, Jésus, notre Seigneur et Sauveur.
Merci pour cette soirée, merci pour cette
journée, merci pour ce soleil que tu nous as donné, merci pour nos enfants,
pour nos familles que tu protèges. Nous voulons vraiment te rendre grâce Seigneur.
Si ta main n'était pas sur nous, nous serions tous exécutés, tués par l'ennemi
de nos âmes. Mais malgré nos faiblesses tu nous protèges, tu nous gardes.
Seigneur, comment ne pas te dire merci, simplement merci. Parfois les mots nous
manquent et nous ne voulons pas chercher des mots pour pouvoir te dire
simplement merci. Tu n'es pas celui qui cherche à ce que les gens formulent de
belles phrases pour pouvoir t'impressionner. Tu n'es pas impressionné Seigneur.
On ne peut pas t'impressionner et tu veux juste que nous nous exprimions devant
toi avec nos cœurs tels que nous sommes. Et nous voulons juste te dire merci.
Que son nom soit béni, frères et sœurs au
nom de Yéhoshoua, notre sauveur.
Voilà mes amis que le Seigneur soit béni.
Alors ce soir comme vous avez pu le voir on
va parler sur ce thème : où irions-nous ? Ou encore à qui irions-nous ?
Seigneur merci : où irions-nous ? Où aller ? Vers qui se tourner ?
Vous voyez que l'image sur l'écran est très
expressive ! Cet homme qui se retrouve sur un carrefour, il y a deux
chemins, celui de droite et celui de gauche. Maintenant quel chemin prendre ?
Cette image résume à mon avis aussi la vie sur terre. La vie sur terre est un ensemble de décisions,
de choix, que nous sommes appelés à faire, des décisions qu'il faut prendre. Chaque
décision bien sûr peut générer, peut engendrer des conséquences. Elles peuvent
être négatives ou positives. On est amenés à prendre des décisions et à faire
des choix.
On ne choisit pas la couleur de sa peau, on
ne choisit pas son sexe, même si on veut nous faire croire le contraire
aujourd'hui, on ne choisit pas ses parents… mais il y a des décisions que nous
sommes appelés prendre, des décisions qui sont bien sûr importantes.
Et nous sommes dans Jean chapitre 6 et nous
lisons à partir du verset 60 jusqu'au verset 70 « Beaucoup de ses
disciples ayant donc entendu cela, dirent : Cette parole est dure ! qui peut
l'entendre ? »
Quelle parole ? La parole qui disait qu'il
fallait manger la chair du Seigneur et boire son sang.
« 61 Mais Yéhoshoua, sachant en
lui-même que ses disciples murmuraient à ce sujet, leur dit : Cela vous
scandalise-t-il ? 62 Si donc vous voyez le Fils d'humain montant où il était
auparavant ? 63 C'est l'Esprit qui donne la vie, la chair ne sert à rien. Les
paroles que je vous ai dites sont esprit et sont vie. 64 Mais il en est
certains parmi vous qui ne croient pas. Car Yéhoshoua savait depuis le
commencement qui étaient ceux qui ne croiraient pas, et qui était celui qui le
livrerait. 65 Et il disait : C’est à cause de cela que je vous ai dit que
personne ne peut venir à moi, à moins qu'il ne lui soit donné de mon Père. 66
Dès lors, beaucoup de ses disciples s’en allèrent vers les choses qui étaient
derrière et ne marchèrent plus avec lui. »
Comment peut-on laisser, abandonner, le Seigneur
alors que ces gens ont vécu des miracles extraordinaires ? Ils ont vu le Seigneur
marcher sur l'eau, ils ont expérimenté la gloire du Seigneur. Et bien parce
qu'ils n'étaient pas du Seigneur tout simplement. Ils étaient devant ce
carrefour et il fallait prendre le chemin de droite, le chemin de la vie, la
porte qui est étroite, le chemin qui est resserré. Mais malheureusement ils ont
préféré prendre la porte large et le chemin spacieux. Ce chemin qui conduit
malheureusement à la perdition, beaucoup le choisissent
Verset 67 « Et Yéhoshoua dit aux
douze : Et vous, ne voulez-vous pas aussi vous en aller ? 68 Alors Shim’ôn
Petros lui répondit : Seigneur, à qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie
éternelle. »
Ça c'est une réponse tellement puissante. À
qui irions-nous ? vers qui allez-vous vous tourner ?
Vous savez Pierre et les autres qui étaient
restés, ils sont restés parce qu'ils n'avaient pas le choix. Je voudrais
vraiment dire ce soir aux enfants du Seigneur qui se retrouvent devant une
difficulté, parce qu'on en a tous, qui se retrouvent devant des dilemmes et qui
ne savent pas quelle décision prendre… Il y en a beaucoup qui sont certainement
découragés, abattus. Paul aussi était abattu, Paul aussi était perplexe. Il le
dit lui-même. Donc ne soyez pas déçu de vous, si vous vous apercevez que vous
êtes un peu découragé, même beaucoup. Ça arrive ! nous sommes humains,
nous ne sommes pas parfaits, nous sommes parfaits par la foi en Yéhoshoua, mais
nous tendons à la perfection. Il y a des situations, des problèmes auxquels
nous faisons face et qui peuvent véritablement générer du découragement dans
nos cœurs, dans nos vies et on peut aussi face à ces problèmes avoir
l'impression que le Seigneur ne nous entend plus, ne nous écoute plus, ne
répond plus. On peut avoir l’impression d’être délaissés, abandonnés,
incompris, isolés… et là on se retrouve dans la même configuration que cet
homme sur l'image. Cette autre image, vous voyez là, il a les mains sur les
hanches et il se pose la question : quel chemin prendre ?
Et là il faut savoir qu’il n’y a pas trois
chemins. Dans la vie, il n’y en a que deux ! il n'y en a que deux. Et on
est tous confrontés à cette situation ! vers qui se tourner ? quel
chemin prendre ? tous ! Doit-on continuer dans cette voie où faire
marche arrière ? Ou peut-être faire une pause ?
Combien n'ont-ils pas fait marche arrière ?
Le chemin de gauche ou rester sur le chemin de droite ?
Tous les humains sont confrontés à ce
dilemme ! tous ! tous les
humains ! quelle décision prendre ?
Vous voyez ?
On a toujours deux voix qui nous parlent :
La voix du Seigneur, la voix de la vérité et la voix du diable, la voix du
mensonge.
Et je vous dis que ce n'est pas toujours
évident parce qu’il y a des décisions à prendre, des décisions qui peuvent
affecter votre futur, qui peuvent affecter votre vie, votre foyer, votre
mariage… tout !
Et vous vous êtes là et maintenant quelle décision
prendre ?
Voilà frère et sœur, c'est terrible !
Et je vous assure que quand on se retrouve devant ce dilemme, ce n’est pas
quelque chose de facile, on est vraiment déboussolés, on peut être complètement
angoissés et on peut avoir l'impression d'être perdus, complètement perdus. Et
on ne sait plus quelle décision prendre par rapport à son mariage, par rapport
à ses études, par rapport au travail, par rapport à ses enfants, par rapport à
sa femme ou son mari, par rapport à sa vie professionnelle, et par-dessus tout,
par rapport à sa vie spirituelle.
Et sache, toi qui m'entends ce soir, mon
frère, ma sœur, que la décision que tu vas prendre va affecter positivement ou
négativement ton futur. Tu es en train de prendre une décision qui va affecter
positivement ou négativement ton avenir. Pas seulement ton avenir à toi mais
également l'avenir des personnes qui sont proches de toi, qui t'apprécient, qui
t'aiment. Et c'est très très très important de le savoir.
Et tous les humains qu'ils soient convertis
ou inconvertis, qu'ils soient chrétiens ou non chrétiens, qu'ils soient
croyants ou incroyants… tous nous sommes confrontés à ce dilemme. Tous nous
nous retrouvons de temps à autre face à cette question : quelle direction
prendre ? quel chemin prendre ?
Parce que jusqu'à notre départ de ce monde
nous aurons des décisions à prendre. Quand on se lève le matin, nous prenons
des décisions. Nous sommes des êtres dotés, grâce au Seigneur, d'intelligence
et donc il faut toujours se dire que la décision, que les décisions que nous
prenons déterminent aussi notre futur.
Et là le Seigneur pose la question :
« et vous ne voulez-vous pas aussi vous en aller ? ». Et
la réponse de Pierre est claire : « Seigneur, à qui irions-nous ?
Tu as les paroles de la vie éternelle ».
Donc regardez les deux réactions des
disciples du Seigneur. Vous avez deux groupes. Le premier groupe dit :
« Cette parole est dure, qui peut l'entendre ? ». Cette parole
est dure, elle est dure
Et le deuxième groupe représenté par Pierre :
« Seigneur, à qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie
éternelle ». C'est clair
Donc Pierre avait fait son choix. Et vous
allez vous rendre compte que malgré le choix que Pierre, Petros, avait fait de
suivre le Seigneur, à un moment donné, comme vous le savez, cet homme qu'est-ce
qu'il va dire à votre avis ? quand il va se retrouver face un dilemme, qu'est-ce
que Petros va dire ? Vous connaissez l'histoire.
Regardez, nous sommes dans Luc chapitre 22 :
54 « Et l'ayant pris, ils l'emmenèrent et le conduisirent dans la maison
du grand-prêtre. Or Petros suivait de loin. 55 Mais comme ils avaient allumé un
feu au milieu de la cour et s'étaient assis ensemble, Petros s'assit au milieu
d'eux. 56 Et une servante, le voyant assis près de la lumière, fixa sur lui les
yeux, et dit : Celui-ci aussi était avec lui. 57 Mais il le nia, en disant :
Femme, je ne le connais pas. »
« Seigneur à qui irions-nous tu as les
paroles de la vie éternelle. »
Mais Pierre ne savait pas que cette parole,
cette parole de la vie éternelle, conduit, conduisait, conduira de manière
inéluctable vers la croix. Donc il n’y a pas la vie, sans la sans la mort. La
vie éternelle commence par la croix, par la mort.
« Seigneur à qui irions-nous ? Tu
as les paroles de la vie. »
Maintenant quand il fallait suivre le Seigneur
parce que c'est lui qui a les paroles, qui avait les paroles, qui aura toujours
les paroles de la vie, quand il fallait le suivre Pierre a dit à la servante :
« femme je ne le connais pas ». Il ne s'est pas arrêté là.
« Et peu après, un autre le voyant,
dit : Toi aussi tu fais partie de ces gens-là. Mais Petros dit : Homme ! Je
n'en suis pas ».
Vous voyez l'évolution : « je ne
le connais pas », « je ne suis pas de ces gens-là. »
Il ne s'est pas arrêté là : « 59
Et environ une heure plus tard, un autre l'affirmait fortement en disant :
Certainement, celui-ci aussi était avec lui, car il est galiléen ».
Ailleurs dans Matthieu, on dit :
« car ton dialecte, ton langage te trahit »
La réponse de Pierre : « 60
Mais Petros dit : Homme ! Je ne sais pas ce que tu dis. »
Vous voyez l'évolution ? « Femme,
je ne le connais pas. Homme, je n'en suis pas. Homme, je ne sais pas ce que tu
dis ».
« Et immédiatement, comme il parlait
encore, le coq chanta. 61 Et le Seigneur, s'étant retourné, regarda Petros ».
Quel regard ! Il n'a pas parlé le Seigneur,
juste un regard.
« Et Petros se souvint de la parole
que le Seigneur lui avait dite : Avant que le coq chante, tu me renieras trois
fois. 62 Et Petros, étant sorti dehors, pleura amèrement ».
Le même Petros va retourner à la pêche
après avoir renié le Seigneur trois fois. Mais le Seigneur qu'est-ce qu'il va
faire ? il va le retrouver après sa résurrection et il va le ramener à lui.
Pourquoi ? mais parce que Pierre ne pouvait pas aller ailleurs, parce que
Pierre était un prisonnier.
Et ce soir je voudrais parler a des pierres
et des pierrettes d’aujourd'hui. Je voudrais dire à des pierres et à des
pierrettes, qui sont là, qui m'écoutent : nous nous retrouvons tous en
Pierre. Oui oui, nous ne sommes pas mieux que lui. Mais Regardez Pierre s’est
sauvé. Quand on a arrêté le Seigneur dans Gethsémané, le même Pierre qui avait
dit : « à qui irions-nous ? ». Tous se sont sauvés. Ils ont
abandonné le Seigneur !
Je voudrais par cet enseignement nous dire,
dire aux enfants du Seigneur, mes amis, nous n'avons pas le choix, nous sommes
prisonniers du Seigneur.
Je vous assure, toi qui pleures, toi qui dis :
« non, j'en peux plus, j'en ai marre ! Oh non la vie chrétienne, les
chrétiens, les églises ! Ah ! non moi j'en peux plus, ah ! non
moi c'est bon, c'est bon, c'est bon… ». Toi qui a du mal maintenant prier,
à lire la Bible... Je voudrais te dire une chose, te rappeler quelque chose que
tu connais déjà : tu es prisonnière ma sœur ! tu es prisonnier, tu
veux aller où ? Tu veux aller où honnêtement ! Tu n'as pas encore
compris que tu n'as pas le choix, que tu es prisonnier du Seigneur ? T’as
beau pleurer, t'as beau dire : « j'en peux plus, j'en peux plus, j'en
veux plus. Alors moi pour l'instant c'est bon, pause, pause, pause… » En
fait tu parles pour ne rien dire.
Je pense vraiment que le Seigneur ce soir
est en train de parler à ses enfants, de fortifier quelqu'un, de rappeler à
quelqu'un qu'il n'a pas le choix.
Tu veux aller où honnêtement ? Entre
nous : tu veux te sauver où ?
Pierre était retourné à la pêche, le Seigneur
ne l'a-t-il pas rattrapé ? n'est-il pas parti le chercher ?
Regardez ce que le psalmiste dit dans le
psaume 139, un psaume que vous connaissez déjà : « Au chef. Psaume
de David. YHWH, tu me sondes et tu me connais1. »
Donc les yeux du Seigneur sont comme des
sondes.
« 2 Tu sais quand je m'assieds et
quand je me lève, tu discernes de loin ma pensée. 3 Tu sais quand je marche et
quand je me couche, tu connais parfaitement toutes mes voies. Car la parole
n’est pas encore sur ma langue, que voici, YHWH, tu la connais entièrement. »
Donc la prière que tu fais là, que nous
faisons avant même que la parole vienne dans notre cœur, sur notre langue le Seigneur
la connaissait déjà. Avant que tu dises : « j'en peux plus, tu ne
m'entends plus. » Le Seigneur la connaissait déjà.
« 5 Tu m'assièges par derrière et
par devant… »
Tu vois le verbe assiéger, emprisonné, entouré.
« Et tu as posé sur moi ta paume… »
Donc maintenant tu penses que tu vas sortir
de sa main ?
« 6 Ta connaissance est trop
merveilleuse pour moi, elle est trop élevée pour que je puisse l'atteindre2. 7
Où irai-je loin de ton Esprit, »
Voilà lui il avait compris.
« où fuirai-je loin de tes faces3 ?
8 Si je monte aux cieux, tu y es ! Si je me couche dans le shéol, t'y voilà
! »
Donc le Seigneur va jusqu'en enfer là-bas.
« 9 Si je prends les ailes de
l'aurore, et que je demeure à l'extrémité de la mer, 10 là aussi ta main me
conduira, et ta droite me saisira. Si je dis : En effet les ténèbres m'écraseront, la nuit même
devient lumière autour de moi ! 12 Même les ténèbres ne sont pas sombres pour
toi : la nuit brille comme le jour, et l'obscurité comme la lumière. 13 Tu as
créé mes reins, tu m'as enfermé dans le ventre de ma mère ».
C’est lui qui nous a mis là-dedans, c’est
lui qui a dit : « tu vas rester neuf mois là-dedans »
« 14 Je te loue, parce que je suis
respecté et distingué. Tes œuvres sont merveilleuses, et mon âme le sait très
bien. 15 Mon corps n'était pas caché devant toi, lorsque j'ai été fait dans un
lieu secret et brodé dans les parties inférieures de la Terre4. »
Nous avons été brodés !
« Tes yeux me voyaient quand je
n'étais qu'un embryon, et sur ton livre étaient inscrits tous les jours qui
m'étaient destinés5. »
Vous vous rendez compte ? Donc ça veut
dire que si tu dois vivre 70 ans le Seigneur a écrit ça dans son livre. Vous
vous rendez compte frères et sœurs ? Waouh ! Quel passage ! Comment
tu veux échapper à quelqu'un qui connaît le nombre de tes jours sur terre, de
nos jours sur terre ? et il a écrit tout ça dans son livre. Donc on va
faire quoi maintenant ?
« C'est pourquoi, El ! que tes
pensées me sont précieuses ! Que le nombre en est grand ! 18 Si je les compte,
elles sont plus nombreuses que les grains de sable. Je m'éveille, et je suis
encore avec toi. 19 Éloah ! ne tueras-tu pas le méchant ? C'est pourquoi,
hommes de sang, retirez-vous loin de moi ! »
Frères et sœurs, quand on lit ce cette
belle parole du Seigneur, n'est-ce pas que l'on ne peut que le magnifier, le
glorifier et se sentir petit honnêtement ?
Donc je voudrais juste rappeler à quelqu'un
que ça ne sert à rien de chercher à fuir le Seigneur. C'est une décision
irréfléchie, insensée, vouée à l'échec. En fait on est tout simplement en prison
! Et ta conversion, ce n'est pas toi qui l'a provoquée, il faut te le rappeler,
il faut qu'on nous le rappelle ça ! de même que tu n'as pas provoqué ta
naissance, de même que tu n'as pas provoqué ta création. Tu n'as pas fait la
commande au Seigneur pour qu'il te crée tel que tu es. C’est lui qui a décidé
de nous créer. Et il faut se le rappeler parce qu'on a l'impression que c'est
nous qui sommes maîtres de nos vies. L'homme n’est pas le maître de son souffle
et donc c'est lui qui a décidé de nous créer. Et il faut toujours nous le rappeler.
Il faut toujours se rappeler que le maître c'est lui.
Donc on demande des choses au Seigneur :
« Seigneur, je veux ci et je veux ça ». Et quand le Seigneur ne nous
exauce pas parce que ce n'est pas forcément le temps, parfois ce n'est pas sa
volonté. Nous, nous faisons la tête, nous sommes découragés, nous sommes
blessés, nous nous enfermons pendant quelques jours et on commence à murmurer,
on commence à se mettre en colère.
Moïse a dit : « Seigneur, la mort
m’est préférable à la vie ». Eli a dit : « Seigneur, je ne suis
pas mieux que mes pères ». Jonas a dit : « Seigneur, je préfère
la mort à la vie ». Voilà de grands
prophètes comme ça. On ne leur arrive même pas à la cheville. Grâce au Seigneur
en lui nous sommes grands, mais on n'arrive pas à la cheville de tous ces
grands prophètes.
Même l'apôtre Paul dira à un moment donné qu’il
était abattu, découragé parfois, mais non perdu. Donc très honnêtement il faut
arrêter de vouloir toujours démontrer, de prouver aux gens qu'on est super
spirituel, super fort. Paul disait : « quand je suis faible, c'est
alors que je suis fort ».
Donc très honnêtement ce n’est pas toi qui provoques
les choses de ta vie, ce n’est pas toi qui a fait la commande pour être crée
tel que tu es, tu as été créé comme ça. Et donc notre conversion c'est pareil, ce
n’est pas toi qui l'a provoquée.
Moi quand j'entends des gens dire : « Oh !
bah c'est moi qui ai amené au Seigneur cette personne ! » Ah bon ?
Ah bon ? c'est toi qui amènes les gens au Seigneur ? T'es sûr de toi ?
le Seigneur a dit : « personne ne peut venir à moi si le Père ne le
tire ». Ou ne le traine. Et il a dit dans Jean 15 : « ce n'est
pas vous qui m'avez choisi, c'est moi qui vous ai choisis et établis afin que
vous alliez et que vous portiez du fruit et que votre fruit demeure ».
Arrêtons de vouloir donner l’impression que
nous sommes quelqu’un. On n’est rien.
Alors toi qui est découragé, toi qui es abattu,
toi qui n'en peux plus, toi qui es fatigué, toi qui es tombé dans le péché… tu
peux te relever grâce au Seigneur, tu peux crier au Seigneur.
Et si tu as l'impression que t'es pas
exaucé, ne te décourages pas, ne restes pas dans le péché, ne restes pas dans
le péché, ne tombes pas dans le péché, ne pèche pas. Parce que c'est ta vie. Comme
la parole le dit : « celui qui pèche nuit à son à son âme ». Donc
il faut se rappeler de cela. Donc si tu prends une décision, si tu pèches, si
tu abandonnes la foi, tu vas nuire à ton âme et à ta vie spirituelle, à ta
famille, ce n’est certainement pas au Seigneur. Le Seigneur est triste quand
c'est comme ça bien sûr mais très honnêtement c'est toi qui est perdant alors il
faut se lever, il faut se réveiller, il faut se relever et se booster.
Donc le Seigneur est fidèle, donc il faut
lui faire confiance tout simplement.
Si ta prière, tes prières ne sont pas exaucées
pour l'instant, si tu marches dans la vérité, dans la sanctification, c'est que
le Seigneur n'a pas décidé, ou que ce n'est pas le moment. Il est souverain, il
est tout puissant, c'est lui qui dirige, c'est lui qui décide. Nous demandons, nous
prions, mais nous demandons en même temps que sa volonté soit faite !
Seigneur que ton nom soit béni, que ton nom
soit glorifié, nous te louons pour ta fidélité Seigneur que toute la gloire te revienne
au nom de Yéhoshoua, notre Adon.
Voilà frères et sœurs, c'est le Seigneur le
chemin la vérité et la vie. Il a dit dans Jean 14 : 6 « Je suis le
chemin, la vérité et la vie. Nul ne vient au Père que par moi ».
Il faut se rappeler cela. Le véritable
chemin c'est Yéhoshoua. Le chemin qui conduit à la vie éternelle, au ciel, est
un chemin difficile, est un chemin de brisement, est un chemin de pleurs, d'abandons
parfois des hommes, est un chemin de persécution, comme la parole le dit, mais
il ne faut pas lâcher.
Que le Seigneur vous garde frères et sœurs,
c’est juste pour vous encourager.
Pensez à nous, il y a une mission à
Madagascar, pensez à nous dans vos prières, priez les uns pour les autres. Et
n'oubliez pas le Mashiah vient !
Qu'il vous garde frères et sœurs en bonne
santé.
Nous vous disons à bientôt sur TV et radio 2
vie. Au revoir !
QUE TOUT SOIT POUR LA GLOIRE DE SON NOM AMEN
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